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THE LIFE OF CHUCK (2025) - Cinemaniacs.be
Chaque vie est un univers. The Life of Chuck raconte, en trois chapitres, la vie d’un homme ordinaire Charles Krantz (Tom Hiddleston), commençant par la fin. Une œuvre poignante, transcendant les genres et semblable à une étreinte chaleureuse, adaptée d’une nouvelle de Stephen King et qui a reçu le prix du public au dernier Festival du Film de Toronto.
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Une adaptation tout en émotion… et en longueur
Tiré d’une nouvelle de Stephen King, le film The Life of Chuck était prometteur. Tout d’abord, le réalisateur Mike Flanagan n’est pas à son coup d’essai, puisqu’il a déjà adapté d’autres œuvres du même écrivain : Gerald’s Game, Doctor Sleep et prochainement Carrie en série. Ensuite, le casting composé du magnifique Tom Hiddleston, de la surprenante Mia Sara en grand-mère, du méconnaissable Mark Hamill et de l’étonnante Karen Gillan.
C’est en pleine pandémie que Mike Flanagan aurait découvert la nouvelle. Comme le livre, le film est divisé en chapitres. L’histoire commence par la fin pour remonter le temps, un procédé ingénieux qui permet à l’histoire de s’ancrer avec bien plus de force.
Le film est avant tout une réflexion sur la mort, l’amour, l’essence même de la vie. On est loin d’une œuvre sanglante. La narration est lente, remplie de dialogues à rallonge sur les détails d’une existence. C’est bourré de bons sentiments comme certains films américains se plaisent à produire mais cela pourrait paraître indigeste pour d’autres.
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